Hommage à Jean Emile Andreux
Monsieur Paul SCHAFFER, Président du Comité Français pour Yad Vashem, le secrétariat et son équipe de bénévoles, remercient très chaleureusement Monsieur Jean Emile Andreux, qui, avec sa gentillesse, son grand dévouement, son immense savoir, et sa rigueur, œuvre depuis plusieurs années pour éditer le blog de Yad Vashem, afin que la mémoire des JUSTES et les informations portant sur notre comité perdure à tout jamais.
Au Président
et au Comité Français pour Yad Vashem,
Oeuvrer pour le Comité est un honneur dont je tente d’être digne non pas ponctuellement mais dans une continuité s’inscrivant dans une démarche qui se voudrait rigoureuse.
Donner une lisibilité, parmi d’autres, au travail de mémoire indispensable et irremplaçable du Comité – et donc aux nouveaux Justes parmi les Nations – ne fait que répondre à la création du blog telle que me la confia Madame Jenny Laneurie, alors Secrétaire générale. Elle me permit ainsi de faire face à une réelle dette morale vis-à-vis du Comité. Je n’oublierai jamais la cérémonie organisée par celui-ci au Parlement et qui lava l’affront infligé par la Mairie d’Aubenton refusant la mention « Juste parmi les Nations » sur la plaque de rue inaugurée au nom d’Emile Fontaine…
Depuis, le soutien attentif et éclairant du nouveau Président, les apports soutenus des délégués, du secrétariat (permanentes et bénévoles), du portail même mais aussi de sympathisants dont le nombre va grandissant, permettent au blog de tenter de répondre à son niveau et dans ses limites, à sa mission modestement complémentaire à toutes
celles menées au sein du Comité.
L’hommage publié ce 7 octobre sur le portail me laisse sans voix. Du moins aurais-je pour premier réflexe de le partager avec toutes celles et tous ceux qui, de Paris, des quatre coins de France et même de plus loin, m’accordent leur générosité, leur sympathie, leurs encouragements, leurs conseils, leurs aides précieuses.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du Comité, l’expression de mes sentiments reconnaissants et dévoués,
Jean-Emile Andreux