Actualités des régions

L’exposition « Les Justes du Cantal. Réseaux et portraits » se tiendra jusqu’au 26 septembre 2024 aux Archives départementales. Le service départemental de l’Office national des Combattants et Victimes de Guerre (ONaCVG) a élaboré une exposition itinérante intitulée « Les Justes du Cantal. Réseaux et portraits » , en partenariat avec le Conseil départemental du Cantal, le Comité français pour Yad Vashem et le Centre d’histoire Espaces et cultures. Portraits croisés des Justes Cette exposition est consacrée à la présentation des différents réseaux de Justes à travers le Cantal et la mise en lumière de portraits croisés et des actions de sauvetage réalisées. Elle témoigne,

Ce dimanche, Robert et Henriette Joly (habitants du Bugey), ainsi que Jeanne Floccard (Lyonnaise) se verront remettre la médaille des Justes parmi les Nations à titre posthume pour avoir sauvé Tita (née Bonan) Borach et jacques Borach. Voici leur histoire La famille Borach est originaire d’Alsace. Au 19ème siècle après la guerre de 1870, l’Alsace Lorraine, devient allemande, c’est alors que la famille part vivre aux États-Unis. Plus tard, ils décident de revenir en France et s’installent à Lyon. Le père Louis Borach se marie avec Tita Esther Bonan et leur fils Jacques nait en 1928. Louis Borach et ses deux

Dimanche 25 août 2024, la Commune de Piolenc a inauguré une plaque en hommage à Sidoine et Yvonne Clément. Sidoine Clément fut Maire de Piolenc de 1947 à 1965. Lui et son épouse ont été nommé Juste parmi les Nations le 16 août 2016. Bertrand KAHN avait six ans à la déclaration de guerre. C’est lui qui a demandé que soient reconnus comme Justes parmi les Nations, Yvonne et Sidoine CLEMENT qui, à la déclaration de guerre habitaient PIOLENC, petit village du Vaucluse, situé à quelques kilomètres d’Orange où Sidoine dirigeait une usine d’accumulateurs dont Pierre KAHN, son père, industriel parisien, était fournisseur.

Membre du réseau « Villes et Villages des Justes de France », la commune de Vabre, en présence de nos délégués régionaux, a inauguré ce 13 août, un jardin des Justes parmi les Nations dans le cadre des 80 ans de la libération. Une stèle dans ce jardin rend hommage à ces personnes courageuses qui n’hésitèrent pas, au péril de leurs vies, à sauver des juifs de la déportation et de l’extermination. Ils furent et restent l’honneur de la France.

Il y a 80 ans, en août 1944, Sainte-Suzanne et Chammes étaient libérées par les Américains. Comme chaque année la commune commémore cette libération. Mardi 6 août 2024, c’est dans la commune déléguée de Chammes que se déroulera le premier volet de cette commémoration. « Il y a deux ans, nous avions honoré Joséphine Maréchal, habitante de la commune pendant la guerre 1939-1945, qui avait au péril de sa vie sauvé des rafles pendant l’occupation des enfants juifs et leurs parents, raconte Michel Galvane le maire de Sainte-Suzanne-et-Chammes. Elle a été reconnue juste parmi les Nations. Nous nous étions engagés au cours

Ce dimanche 21 juillet dernier à l’occasion de la Journée Nationale à la mémoire des victimes de crimes racistes et antisémites de l’état français et d’hommage aux Justes de France, la commune de Tonneins a mis à l’honneur le Pasteur Jean Saint-Martin, comme cela avait été fait en 2022 pour les époux Marguerite et Paul Tzaut, une plaque en leurs mémoire et un emplacement dédié dans une allée au sein du jardin public. Pour le Maire M. Dante Rinaudo, le racisme et notamment l’antisémitisme d’où qu’ils viennent résurgent dans notre pays et doivent être combattus de la manière la plus forte.

Samedi 29 juin 2024, la commune de Villecien a inauguré la place Albertine Roche née Fassier anciennement place de l’école, à l’issue du Spectacle « Raconte-moiVillecien Village » réalisé par l’association Festif’art of Villecien. Ce spectacle de déambulation nocturne mélangeant humour et histoire a rendu hommage à Albertine FASSIER-ROCHE, Juste parmi les Nations », une jeune femme qui, en 1944, du haut de ses 19 ans, a osé faire face aux militaires allemands et a permis à une famille Juive de survivre et d’être réunie avant la fin de la guerre. Lire son histoire

Durant la Seconde Guerre mondiale, Anselme Barin, curé de Marie, cacha dans le village des familles juives. Une plaque rend désormais hommage à ce « Juste parmi les Nations ». Dossier 5894