Ce grand résistant a sauvé des juifs en grand nombre à Aurillac et, auparavant, à Marseille
La médaille de Juste attribuée à titre posthume à Henri Weisbecker a été remise à sa belle-fille, Yvette Weisbecker, par Elad Ratson, représentant l’ambassade d’Israël à Paris, en présence d’André Rossinot, maire de Nancy, de Didier Cerf, correspondant régional du Comité français pour Yad Vashem; de Françoise Cahen et de Claudine Nordon, née Michel, sauvée par cet ancien commissaire de police d’Aurillac.
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