Retour en images à Mandres-les-Roses
La famille de Thérèse Altglas (4e à partir de la gauche), enfant cachée et sauvée par Francis ainsi que par Julienne Mélisson,
Justes parmi les Nations
(Ph. Arch. J-C De Glas).
Adjoint au Maire, mais encore auteur de :
– Deux enfants se souviennent. Destins croisés à Mante-les-Roses durant la Shoah (Ed. de la Mémoire),
Jean-Claude De Glas prépare les archives pour les historiens à venir. Il a confié au blog ces documents qui illustrent la cérémonie de remise à Mandres-même des diplômes et médailles aux noms des Justes Mélisson. C’était le 19 avril 2009.
Discours de Thérèse Altglas.
De g. à dr. : Jean-Claude De Glas; Paul Ejchenrand, délégué du Comité Français pour Yad Vahsem; Jean-Claude Perrault, Maire de Mandres-les-Roses; Thérèse Altglas; Peleg Lewi, Ministre Conseiller près l’Ambassade d’Israël; Viviane Saül, déléguée du Comité Français pour Yad Vashem.
(Ph. Arch. J-C De Glas).
Thérèse Altglas :
– « Je souhaiterais que cette journée serve d’exemple pour faire comprendre aux nouvelles générations, toutes confessions confondues, qu’il ne faut jamais oublier les horreurs qui se sont déroulées pendant cette période de la guerre, ET QUE LE MONDE ENTIER A LAISSE FAIRE.
Pour bien me faire comprendre, je souhaiterais ardemment que les parents et les enseignants évoquent, avec les enfants, cette période de la guerre que furent les camps de concentration et d’extermination que les historiens ont appelé « SHOAH ».
Comme le disait si justement Berthold BREICHT :
« Le ventre est encore fécond d’où a surgi la bête immonde ».
Malheureusement, chaque jour qui passe nous prouve la véracité de cette phrase. »
Nombreux furent les amis à entonner le Chant des Partisans.
(Ph. Arch. J-C De Glas).
A la vie ! Sans oublier…
De g. à dr. : Geneviève Bregeault, Thérèse Altglas et Evelyne Gradstein.
(Ph. Arch. J-C De Glas).
Recueillement et cérémonie oecuménique devant la tombe des époux Mélisson.
(Ph. Arch. J-C De Glas).
Article lié au Dossier 10972