La vie du Comité

A Soubrebost, les Justes parmi les Nations récompensés Creuse du 12/11/2017               Trois familles creusoises sont désormais reconnues comme Justes parmi les Nations © Radio France - Sarah Vildeuil Trois familles creusoises ont reçu la plus haute distinction civile d'Israël ce dimanche à Soubrebost. Ce sont des Justes parmi les Nations. Deux couples et une femme ont été récompensés à titre posthume pour avoir protégé des enfants juifs pendant la Seconde guerre mondiale. Au cours de la cérémonie, des écoliers lisent un poème, Le Badge, d'Albert Pesses, un des enfants juifs cachés pendant la guerre [...]

Spécial oeuvre de Marielle Justes parmi les Nations Aujourd'hui,  j'ai envie de partager avec vous, une belle histoire,  l'histoire toute particulière de l'un de mes ouvrages. Pour cela , il faut remonter  presque deux ans en arrière. Alors que nous faisions une petite visite avec mon mari à ma petite belle maman,  celle ci nous apprend , que le Maire d'une petite commune voisine de notre ville, recherche leur famille car il aurait reçu une lettre provenant d'une personne résidant en Israël et cette personne cherche à prendre contact avec leur famille. Très surpris, ne sachant vraiment pas de quoi il pouvait [...]

Ste-Suzanne rend hommage à ses Justes Site internet de Ste-Suzanne."Il y avait quelque chose à faire"pour les persécutés raciaux...Ste-Suzanne se souvient de ses Justes. Aurélie Champagne :- "De l'avis de tous, il y avait "quelque chose à faire" à Sainte-Suzanne. Pour que l'oeuvre de courage de certains habitants de la commune associée ne reste pas enfouie dans les souvenirs d'une période sombre.Dans le silence, dans la peur, aussi, certaines familles ont accueilli et caché, au péril de leur vie, ceux que l'on appelait alors les "petits parisiens" : des enfants juifs, venus fuir la persécution à Orthez/Sainte-Suzanne, véritable frontière entre la [...]

Strasbourg a rendu hommage aux Justes Strasbourg est en train d’aménager une « Allée des Justes » près des Halles, qui donnera plus de visibilité au site de l’Ancienne synagogue détruite par les nazis. À l’instar de Jérusalem qui a érigé un mémorial rendant hommage aux Justes parmi les Nations – ces milliers de personnes qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale – Strasbourg a entamé, le 11 juin, des travaux dans le but d’édifier une « Allée des Justes ». Aménagé près du Centre commercial des Halles, le long de la [...]

Saint-Jean-de-la-Motte. Eugène et Pauline Fagault faits Justes parmi les nations Roger, Nathan et Félix Kajman, dans le même ordre que sur la photo de leur enfance que tient Nathan. Avec eux, Bernadette Liglet qui vient de recevoir pour ses grands-parents la médaille des Justes parmi les nations.   Ce matin, à la mairie de Saint-Jean-de-la-Motte, Rachel Feinmesser, ministre conseiller aux Affaires politiques, a remis à Bernadette Liglet? qui représentait ses grands-parents, Eugène et Pauline Fagault, la médaille de Justes parmi les nations, à titre posthume. Entre 1942 et 1945, les époux Fagault avaient caché dans leur petite ferme de La Roussière, [...]

Saint-Juéry. Ruth Hartz dédicace son livre Ruth aux USA avec son livre en langue anglaise. A la rentrée 2008, nous vous avions présenté le livre de Stacy Cretzmeyer qui raconte l'enfance de Ruth Harts « Je m'appelle Renée » (histoire d'une enfant juive durant la guerre 39-45 dans nos deux villes de Saint-Juéry et Arthès). Ruth Hartz est née en 1937. Durant la guerre, avec sa famille, elle a suivi un périple qui l'a conduite de l'Allemagne en France, Toulouse, Saint-Juéry et Arthès, où elle a été accueillie par Eugène et Louise Fédou, bravant la loi de Vichy, et qui, en [...]

Salles-d'Angles : les Stacke reconnus Justes         Joseph et Aneska Stacke Le 9 mai, près de Cognac, Aneska et Joseph Stacke seront honorés à titre posthume et faits Justes parmi les nations Pendant la guerre, Aneska et Joseph Stacke étaient mal vus. À Salles-d’Angles, près de Cognac, on les traitait parfois de « sales boches ». Ce couple d’émigrés tchécoslovaques cachait pourtant des juifs, dans sa maison aux volets bleus, au 9, rue Mortemer. De juillet 1942 à août 1945, ils ont sauvé Héda et Kurt Fischl et leurs deux enfants, Alex et Otto… Il y a un [...]